Translate

dimanche 16 octobre 2016

Comment reprogrammer votre cerveau pour le succès

La dernière édition du New Yorker magazine contient un article à propos de neuroscientifiques qui étudient la manière dont le cerveau récupère les souvenirs stockés dans la mémoire. Ce qu’ils ont révélé est probablement la plus importante découverte de tous les temps dans le domaine de la formation au succès. 

Comment le cerveau mémorise

La plupart des gens imaginent la mémoire humaine comme une bande vidéo ou un ordinateur. Quand on se souvient de quelque chose, on lirait ce qu’il y a à l’intérieur de la mémoire. Les souvenirs pourraient être plutôt vifs ou plutôt vagues selon notre capacité à se souvenir plus ou moins bien des choses. 
Or il se trouve que la mémoire ne fonctionne pas du tout de cette manière ! Quand on se souvient de quelque chose, notre cerveau recâble les connexions entre les neurones et, de ce fait, modifie la structure de notre cerveau. 
La mémoire humaine ressemble plutôt au processus de montage vidéo qu’au déroulement d’une bande vidéo. Quand on se souvient, on recrée, on modifie et on re-mémorise. La mémoire est sujette à changement chaque fois qu’on réactive des souvenirs.
Selon les dernières recherches, il est donc possible de modifier de manière intentionnelle de mauvais souvenirs pour supprimer les sentiments désagréables associés à ces souvenirs. 

Ce que cette découverte capitale signifie pour vous et moi

Votre attitude et votre comportement – les deux éléments essentiels qui font le succès- sont grandement influencés par les souvenirs.
Par exemple, si vous avez enduré un échec douloureux dans le passé, vous êtes plus tenté d’éviter les risques, même face à des risques constructifs. 
De la même manière, si vous avez connu des succès dans le passé, vous avez plus de probabilités de répéter les conditions du succès liées aux souvenirs positifs qui lui sont associés. 
La raison pour laquelle cette étude est si importante est que nous savons maintenant que tout le monde peut :
1. Modifier ses mauvais souvenirs pour s’en libérer
2. Modifier ses bons souvenirs pour se propulser en avant
En d’autres mots, nous pouvons littéralement reprogrammer notre cerveau pour avoir plus de succès !

Comment affaiblir nos mauvais souvenirs 

La méthode décrite dans cet article est exactement la même que celle utilisée par le gourou de la motivationAnthony Robbins depuis une vingtaine d’années.
Pour extraire le poison de vos mauvais souvenirs, sollicitez votre mémoire puis imaginez ces souvenirs devenir de plus en plus petits et sombres, comme si vous étiez en train de regarder  un minuscule écran de télé en noir et blanc.
Vous pouvez maintenant ajouter des détails qui mettront la mémoire en déroute. Par exemple, si vous vous rappelez d’une présentation que vous avez particulièrement ratée, ridiculisez votre public en les imaginant microscopiques et avec des habits de clown.
Si vous faites cela 5 ou 10 fois, vous vous rendrez compte que vos mauvais souvenirs ne vous titillent plus. Au pire (ou au mieux), ils vous feront sourire parce que vous avez physiquement reprogrammé votre cerveau.

Comment solidifier vos bons souvenirs

Afin de rendre vos bons souvenirs plus puissants et motivants, faites la même chose mais dans l’autre sens. 
Rappelez votre souvenir de manière aussi vive que vous pouvez, projetez le sur un écran géant avec des enceintes surpuissantes et des projecteurs dans tous les sens. Rendez vos souvenirs de succès très bruyants et très lumineux. 
Mais surtout associez-y des sentiments ultra positifs, amplifiez les émotions et sensations ressenties à cette occasion.
Faites le 5 ou 10 fois et vous vous rendrez compte que ce qui n’était auparavant qu’un simple souvenir est devenu un puissant levier de motivation. Plus vous revivrez ce souvenir, plus vous voudrez le reproduire dans la vraie vie.
J’ai utilisé cette méthode pendant des années sans vraiment comprendre POURQUOI elle fonctionnait. Maintenant que les neurosciences peuvent l’expliquer, je vais faire en sorte de modifier mes souvenirs (bons ou mauvais) au quotidien !

Pour tester :

Automatismes acquis : Comment aider un enfant à avoir confiance en lui

Dans son livre « Fais-toi confiance« , Isabelle Filliozat évoque les automatismes acquis, des réflexes qu’adopte l’enfant à force d’être confronté à des situations qui mettent en péril son intégrité et la confiance en ses capacités. Ces automatismes perdurent parfois durant toute une vie. Comment y remédier en tant que parents sachant qu’un enfant ne nait pas avec un manque de confiance en lui ?


Un enfant dévalorisé par ses parents culpabilise

C’est un point important que nous devons prendre en compte. Un enfant n’a pas assez de maturité pour interpréter un jugement de ses parents en l’attribuant à une cause extérieure. De plus, il ne peut pas imaginer que ses parents ne soient pas capables de l’aimer.
Il a donc tendance à réagir à une insulte, humiliation, dévalorisation ou un manque d’attention en culpabilisant. Il arrive aux conclusions que c’est son comportement qui est la cause de cette humeur chez des parents en qui il a une confiance aveugle. Il se dit que s’il était meilleur, plus sage ou différent, ils l’aimeraient plus.

Restez attentif aux signes de retrait de votre enfant

Lorsque un enfant semble se mettre soudain en retrait par rapport à une réaction de votre part, demandez-lui ce qui ne va pas. Aidez-le à poser des mots sur ses émotions et remettez-vous aussi en question. Les intentions que nous avons ne sont parfois pas celles qui sont perçues par nos enfants. C’est déjà le cas entre adultes alors entre un enfant et un adulte…
Quoi qu’il en soit, soyez attentif et n’hésitez pas à reformuler vos requêtes calmement en veillant à ce que vos mots ne dépassent pas vos pensées.
Prenez conscience qu’on peut toujours s’excuser et panser les blessures avant qu’elles ne deviennent profondes.

L’ennemi de la confiance en soi : le jugement personnel

En tant qu’adultes, notre confiance vacille quand nous sommes l’objet de critiques personnelles. Pour les enfants, qui n’ont pas notre expérience et nos outils de défense, tout jugement d’un parent apparait comme une vérité qui heurte leur sensibilité et entame leur confiance. De plus, les émotions négatives générées ont tendance à s’ancrer dans la mémoire car le cerveau les range dans des catégories d’alertes à l’intégrité physique ou morale. Elles représentent un danger.
Isabelle Filliozat conseille de bannir le « tu es… », synonyme de jugement personnel, et de le remplacer par une formulation commençant par « je… ».
Ainsi, « tu es idiot/maladroit/violent » deviendra « Je suis mécontent… » « Je ne veux pas… » « J’ai besoin… ».
 Cette méthode est précisément celle que nous avons décrite dans l’article sur les 4 clés de la communication non-violente :

O comme Observation

Observez mais ne faites pas de jugement de valeur et ne généralisez pas.

S comme Sentiment

Exprimez ce que vous ressentez, partagez vos émotions.

B comme Besoin

Derrière chaque émotion, se cache un besoin satisfait (sentiment positif) ou insatisfait (sentiment négatif).
Les besoins sont à la base de la CNV car « les jugements portés sur autrui sont des expressions détournées de nos propres besoins inassouvis ».
Les identifier, c’est s’inscrire dans une action réparatrice.

D comme Demande

C’est la dernière étape de CNV. Il s’agit d’exprimer une demande. N’attendons pas que nos enfants devinent nos besoins, exprimons-les.

Comment répondre à un enfant qui se dévalorise ?

Quand un enfant dit : « je suis nul, je ne sais rien faire… », reprenez-le en reformulant ainsi :
« Tu n’as pas ENCORE réussi. Mais ça viendra » ou interrogez-le pour lui demander des preuves de ce qu’il avance et fournissez-lui une explication qui ne porte pas atteinte à son image. Commentez les actes, pas la personne.

L’absence de droit à la colère…

Isabelle Filliozat pense que l’interdit d’exprimer de la colère envers un parent s’ajoute aux blessures de l’enfant.
Elle préconise que l’enfant laisse éclater sa colère face à une situation qui l’a blessé.
Je ne suis pas d’accord sur ce point. Ma modeste expérience de père et mes lectures m’ont démontré que toute colère peut être désamorcée. Mieux, je pense que la violence et l’état dans lequel l’enfant se trouve pendant des épisodes de colère créent une habitude reproductible indéfiniment, un automatisme éprouvant. La colère s’apprend. Je suis donc partisan de détecter les signes d’énervement et la montée de la colère, d’engager un dialogue sur un ton léger voire humoristique et d’aider l’enfant à former une image mentale apaisante qui viendra se substituer à l’image qui est sur le point de déclencher sa colère. (lire cet article à propos du cerveau et de la colère)
Là où je rejoins Isabelle Filliozat, c’est dans le fait d’organiser de temps en temps (et dans le calme) des batailles de coussins pour évacuer l’agressivité.

Rassurez votre enfant et positivez

Je souhaitais rajouter ces quelques lignes à propos de mes pratiques quotidiennes :
  • Rassurez votre enfant sur votre attachement et votre amour est essentiel. Ne vous dites pas : « mais c’est évident ! je suis sa mère (ou son père) quand même ! ». Dites-lui que vous l’aimez, serrez-le contre vous. Il n’y a que des preuves d’amour. Donnez-en.
  • Dites-lui aussi que vous êtes à son écoute quel que soit le sujet qu’il veut aborder avec vous.
  • Accordez-lui de l’attention. Une totale attention. Vos yeux, vos oreilles, votre coeur, vous guideront et percevront si tout est OK ou pas.
  • Insistez bien sur le fait que tout le monde a droit à l’erreur. Les erreurs permettent de grandir. Il n’a pas appris à faire du vélo ou à marcher sans tomber par exemple.
  • L’humour plutôt que la colère : ne parlez plus de colère, apprenez-lui à s’exprimer et à se servir de l’humour. L’humour et l’auto-dérision lui serviront toute sa vie et lui  éviteront bien des blessures.
  • Montrez-lui comment avoir confiance en soi (lire cet article). Vous êtes observé et imité !
 « Fais-toi confiance » d’Isabelle Filliozat est disponible au format poche et audio sur amazon.fr ou fnac.com.

samedi 15 octobre 2016

11 مهارة اجتماعية تجعلك "تمتلك" من حولك

فيما يلي 11 طريقة بسيطة للبدء في صياغة “شخصية المليون دولار”، لتكون أكثر شخصية محبوبة بين الحضور:

1. التواصل البصري


يكتب أحد مستخدِمي موقع Quora، “إنه أمر بسيط للغاية، بيد أنه لا يزال أحد أكثر خدع الحياة تأثيراً. تعد الثقة إحدى أكثر الميزات جاذبية عند الشخص. ولكن عبارة (كن واثقاً) ليست نصيحةً جيدةً جداً. وبدلاً من ذلك، اعثر على بديل أفضل للثقة، من حيث السلوك التفاعلي. وذلك البديل هو التواصل البصري”.
يقول بورتر “ابدأ هذه العادة فوراً”. لا يتطلب الأمر أي ممارسة أو مهارة خاصة، بل مجرد الالتزام بالنظر إلى عيني الشخص حين تتحدث معه.

2. ضع هاتفك الجوال في جيبك

وأبقه هناك حتى ينتهي لقاؤكم. تقول بيزل شيسون ببساطة، “انتبه، وانظر إليهم، وأوقف ما تفعله. وتجنّب المقاطعة…".
هذه عادة أخرى بسيطة، لكنها فعّالة، يمكن تنفيذها فوراً ولا تتطلب أي جهد أو مهارة.








3. ادعُ الناس بأسمائهم


حين يحييك شخص باسمك في اللقاء الثاني أو يستخدم اسمك في منتصف المحادثة، تذكر كيف تشعر بالسعادة.
إذا كان لديك صعوبة في تذكر أسماء من تلتقيهم، جرب استراتيجيات مختلفة، مثل كتابة أسمائهم أو استخدام مجاز أو قوافٍ مرتبطة بالاسم. ويقترح هوارد لي - أحد مستخدمي Quora -، تكرار أسماء الناس لفظياً عند التعرف عليهم لأول مرة ثم تكرار ذلك مرتين أو أكثر في رأسك.

4. الابتسام


لا تقلل من شأن قوة الابتسام.
بالإضافة إلى ذلك، يوصي كريغ فريزر - أحد مستخدمي Quora -، بالضحك وإلقاء النكات. فالناس يعكسون لغة جسد الشخص الذي يتحدثون معه. فإذا كنت تريد أن تكون محبوباً، استخدم لغة جسدٍ إيجابية وسيرد الناس بالمثل عفوياً.



5. المصافحة الواثقة القوية


كتب توني فنسنت “ليست مصافحة قوية للغاية، ولا رخوة وناعمة بالتأكيد، وبدون إظهار دور السيطرة”.
وتبين الأبحاث أن الناس تقرر فيما إذا كانت تحبك أو لا تحبك في غضون ثوانٍ من لقائك. وتساهم المصافحة الواثقة القوية إلى حد كبير بخلق الانطباع الأول، كما توحي بذلك تماماً وضعية الجسد القوية ولغة الجسد الإيجابية.

6. الإصغاء

يقول مارك بريغمان - أحد مستخدمي Quora -، “أصغ أكثر مما تتكلم, فلديك أذنانِ وفمٌ واحد. ويجب استخدامها وفقاً لهذه النسبة”.

7. لا تصغِ مجرد إصغاء؛ أصغِ بفاعلية


إن مجرد سماع الكلمات أمر لا يعول عليه، فالناس المحبوبون يصغون حقاً إلى الشخص الذي يتحدث معهم.
وتكتب شيسون أن الإصغاء الفعال يتطلب أربع خطوات هي: الاستماع، والتفسير، والتقييم، والاستجابة.
وتتطلب الخطوة الأولى إهمال ما تفعلونه وإبداء الاهتمام. وبعد ذلك، تقترح “إعادة صياغة ما قد سمعته وسؤال أسئلة توضيحية”. ويعني التقييم تجنب الأحكام السريعة والقفز إلى الاستنتاجات “كن متأكداً من أنك تمتلك كل المعلومات ذات الصلة قبل تكوين رأي أو التعبير عنه. وأخيراً، أعطِ ملاحظات لجعل المتكلم يدرك أنك سمعته

8. تملق الناس


كتب جوليان ريزينغر أن “هذا يلفت انتباه الناس مباشرة لأنه يحرك (الأنا)، وبالتالي فهو أمر فعال للغاية”.
ويقترح ريزينغر افتتاحيات للمحادثة تجعل الشخص الآخر يشعر بأنه خبير، مثل “أنت تعرف الكثير عن التسويق الاجتماعي، أليس كذلك؟” أو “هل تعرف لماذا تردني دائماً هذه الرسالة الخطأ؟”.
بهذه الطريقة، تتعلم شيئاً جديداً ويشعر الشخص الآخر أنك بحاجة إليه. ويشرح ريزينغر، “إن الأمر بهذه السهولة، ومرضٍ للجميع، ويصلح في كل الأوقات”.

9. تعرّف على كيفية قبول المجاملة


يمكن أن يكون قبول المجاملة محيراً لأنك لا تريد أن تبدو مغروراً.
ومع ذلك، فإنك لا تريد أيضاً أن تتمتم “شكراً، وأنت أيضاً” لأن ذلك يجعلك تبدو خجولاً وقاصراً اجتماعياً.
لذلك، وبدلاً من محض عبارات مثل “تبدو أفضل مني بعشر مرات” أو “الفضل لكم”، يقترح ريزينغر قبول المجاملة بثقة باستخدام عبارات مثل “شكراً! إن سماع ذلك يشعرني بالرضا حقاً” أو “شكراً لك! يا لها من تجربة رائعة”.

10. إذا تمت مقاطعة شخص ما، اطلب منه المتابعة


كلٌّ منا كان ذلك الشخص الذي يحكي قصة، وتتم مقاطعته، ثم يكون عليه أن يتوقف مرتبكاً، متسائلاً فيما إذا كان أي شخص يستمع إليه.
وتقول ميلينا رانغلوف أنه يمكنك أن تحرر ذلك الشخص بقول شيء من هذا القبيل، “حسناً، هل يمكن من فضلك إنهاء قصتك عن ركوب الدراجات؟ الشيء الأخير الذي ذكرته هو أن الكلاب بدأت تطاردك. هل يمكنني سماع بقيّة القصة، من فضلك؟”.
وتقول رانغلوف “ستكون قد أشعرتَ المتحدّث بالراحة على الفور وجعلته يشعر بأنه محط تقدير”.

11. لا تتذمّر


إن العيش في محيط الناس السلبيين هو استنزاف للمرء، هذا هو السبب الذي يجعل ميلينا رانغلوف تدعوهم “مصاصي الدماء النشطين”، لأنهم يمتصون طاقتك.
إذا لاحظت نفسك تتذمر بينما يشرد الجميع، اصنع معروفاً لنفسك واختر موضوعاً جديداً.


vendredi 14 octobre 2016

20 citations qui vont vous porter vers la réussite





Votre motivation au quotidien dépend en grande partie de votre façon de penser. Peu importe les difficultés et les échecs rencontrés, si on se donne les moyens de réussir, le succès restera accessible ! Voici 20 citations qui vous donneront sûrement du courage pour booster votre ambition.

"POUR RÉUSSIR, NOUS DEVONS D'ABORD CROIRE QUE NOUS POUVONS."


jeudi 13 octobre 2016

7 phrases à se répéter pour retrouver confiance en soi

  1. Remplacez « je ne pourrai jamais » par « j’y arriverai », puis décomposez par écrit ce que vous devez faire pour atteindre  l’objectif que vous visez. Mettez-vous à l’ouvrage sans attendre.
  2. Remplacez « je ne suis pas capable » par « je peux le faire », puis souvenez-vous d’un précédent succès dont vous êtes fier. Ressentez toutes les sensations inhérentes à cette expérience. Serrez le poing et lancez-vous. Vous l’avez déjà fait, vous pouvez le faire de nouveau.
  3. Remplacez « je ne le mérite pas » par « je le mérite ». Vous avez droit au meilleur. Donnez-vous les moyens de réussir et récoltez les fruits. Agissez constamment sans léser autrui et réussissez !
  4. Remplacez « je ne suis pas assez préparé/parfait » par « j’ai le droit à l’erreur ». Les erreurs font partie de la réussite. On apprend en tombant. Tout le monde connait l’échec, y compris ceux qui ne le montrent pas. De plus, la perfection n’existe pas donc inutile de la viser. Gardez le cap, ne vous découragez pas et acceptez chaque leçon que la vie vous apporte. Dites-vous aussi qu’une erreur est une nouvelle possibilité de mieux faire. Au plus vite vous vous y frotterez, au plus vite vous vous améliorerez.
  5. Remplacez « je prends un risque » par « je tente ma chance ». Servons-nous de la richesse de notre vocabulaire pour changer notre manière de penser ! Un risque est effrayant. Appelons-le « chance ». 🙂
  6. Remplacez « il faut/il faudrait » par « j’y vais ! ». Vous avez remarqué à quel point « il faut/il faudrait » vous démotivent ?  Parlez au présent et suivez vos objectifs. Faites un pas après l’autre. Concentrez-vous sur votre mouvement, dans l’instant présent. Inscrivez-vous complètement dans l’action.
  7. Remplacez « Tout le monde va se moquer de moi si j’échoue ! » par « ce qui compte c’est ce que moi je pense de moi ».

Si vous êtes bienveillant avec vous, qu’importe ce que pensent les autres qui ont leurs propres problèmes, soit dit en passant. De plus, on s’imagine souvent être jugé par autrui mais on ne pense que trop peu aux personnes qui nous aiment et nous admirent. Il est grand temps de porter notre regard sur ce qui nous fait du bien.
J’ai un autre argument à vous soumettre. Les gens qui vous jugent sont en réalité envieux de ce que vous êtes. Vous représentez pour eux l’expression de désirs inassouvis. De plus, c’est vous qui décidez d’être contrarié ou pas par ce qu’ils vous font (ou ce que vous imaginez qu’ils vous font).

 Je vous donne 4 derniers conseils :
  1. – aidez les autres.
  2. – tenez un journal.
  3. – exprimez souvent votre gratitude.
  4. – marchez plus vite et tenez-vous droit.




    Envolez-vous!

    Vous êtes nés avec un potentiel. Vous êtes nés pour la bonté et la confiance. Vous êtes nés avec des idéaux et des rêves. Vous êtes nés pour accomplir de grandes choses. Vous êtes nés avec des ailes. Vous n'êtes pas faits pour ramper, alors ne le faites pas. Vous avez des ailes. Apprenez à les utiliser et envolez-vous.
    Rûmi