mardi 30 août 2016
Voici 10 secrets pour développer la confiance en soi d’un enfant. Bon, ok, ce ne sont plus des secrets du coup…et tant mieux car ils méritent d’être partagés !
- Parlez-lui de ses succès : il doute ? Demandez-lui de vous raconter comment il a réussi à surmonter la peur du noir, comment il a réussi à tenir en équilibre sur un vélo, à se faire des copains/copines, à écrire, lire, parler, etc. Soyez le projecteur qui éclaire ses réussites ! Montrez-lui aussi des photos et des vidéos de ses exploits.
- Décrivez ses actes et ne le jugez jamais personnellement : les compliments et les critiques sont les deux facettes d’une même méthode qui rend les enfants dépendants du jugement d’autrui et qui détruit leur motivation interne. Préférez un mode opératoire dénué de jugement : décrivez ce que vous voyez et dites ce que vous ressentez à propos de cela. C’est la meilleure façon d’encourager.
- Parlez-lui de son cerveau : le cerveau est fantastique ! Il évolue sans cesse en fonction de nos expériences et de la manière dont nous pensons. Ainsi, faire confiance à son cerveau, c’est se donner toutes les chances de s’épanouir en considérant la vie comme un apprentissage permanent. Rien n’est jamais perdu !
- Donnez-lui le droit d’échouer, de réussir, d’être différent, d’éprouver des émotions (et de les exprimer sans violence) et d’être heureux : cela peut paraitre bizarre mais si on ne donne pas ce type de droit explicitement, c’est l’inverse qui risque d’être compris. Donc, donnons ces droits libérateurs.
- Racontez vos propres échecs et ce que vous en avez appris : la peur de l’échec est terrible…autant l’éviter en dédramatisant et en regardant le bon côté des choses. Echouer, c’est essayer. Et à force d’essayer, on finit par y arriver. Normal, le cerveau apprend ! (voir le point 3).
- Montrez comment le corps influence l’esprit : en manque de confiance en soi ? Voici le remède : faites comme si vous aviez confiance en vous. En effet, le manque de confiance en soi (la pensée/croyance) influe sur le corps et sur le comportement. Mais cela fonctionne aussi dans l’autre sens : du corps vers le cerveau. Ainsi, en se comportant comme si on avait confiance, les pensées se modifient. Parmi les postures qui aident : marcher vite avec la tête droite, serrer le poing, lever les bras en l’air en signe de victoire…
- On croit et on imagine ce que l’on veut : dire à un enfant que personne ne peut l’empêcher de penser ce qu’il veut l’aide ! Et c’est vrai en plus ! On peut décider de croire qu’on a confiance en nous et qu’on avance à côté d’un modèle bienveillant et inspirant (héros d’un livre, papa, maman, etc). De la même manière, on peut réfuter les croyances négatives en apportant des preuves de leur irrationalité. Une idée de croyance : « la vie est un jeu ».
- Habituez-le à prendre des décisions et à en assumer les conséquences : prendre des décisions augmente la confiance en soi. Donc, proposez-lui souvent des choix, demandez-lui son avis, poussez-le à l’action, etc. Et s’il commet des erreurs, expliquez-lui qu’il est possible de réparer…et de tenter de nouveau, fort de ce nouvel enseignement.
- Ne faites rien à sa place s’il sait faire : vive le lâcher prise parental ! Ne vous substituez jamais à un enfant lorsqu’il sait faire quelque chose ou quand il sait presque le faire. C’est ainsi qu’il prendra conscience de son pouvoir personnel.
- Souriez : le sourire est contagieux et donne de la confiance en soi et de l’optimisme. Offrez-le à votre enfant…qu’il vous le rendra en miroir en ressentant ses bienfaits !
lundi 29 août 2016
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