Comment apprendre à son enfant à lâcher prise (pour être plus heureux toute sa vie)
Apprendre le lâcher-prise est un cadeau pour la vie. En effet, le fait de le pratiquer assure plus de bonheur au quotidien. C’est comme une sorte de soupape pour évacuer le stress, diminuer les ruminations mentales et apaiser les émotions désagréables.
Afin de l’apprendre aux enfants et à intégrer ce mot dans le langage courant, je vous invite à utiliser cette méthode sur des thèmes aussi divers que les relations sociales, les émotions, les habitudes ou les objets :
- Faites prendre conscience à votre enfant qu’il utilise déjà le lâcher-prise :
Remarquez à haute voix lorsqu’il pose un objet, quand il dit au revoir à un ami, quand il quitte volontairement un lieu, etc.
Evoquez le fait qu’il n’y a aucune conséquence au fait de lâcher-prise. Il s’agit simplement de s’intéresser à autre chose.
- Organisez avec lui un vide-grenier ou une opération « don » :
On peut apprendre à lâcher-prise en se débarrassant d’objets, de jouets, de livres, etc. Soit en les vendant, soit en les offrant/donnant. Ce dernier point permet de cultiver l’altruisme également (vecteur de bonheur).
- Entrainez-le à lâcher prise sur une idée douloureuse :
Identifiez une idée/un tracas/ une inquiétude qui rend malheureux votre enfant. Remettez-la en question (avec lui) face à la réalité (réfutation et relativisation) et aidez-le à la remplacer par une affirmation comme celle-ci : « tout le monde a droit à l’erreur », « Si je ne tente pas, je ne saurai pas si cela fonctionne », « personne n’est parfait et c’est très bien comme ça ».
- Lâchez prise sur une rancune :
En lâchant prise sur une rancune, on se libère d’un gros poids. Montrez à votre enfant que l’on peut pardonner pour se libérer bien que pardonner ne signifie pas oublier pour autant. Expliquez que l’on peut aussi demander réparation et des excuses pour se sentir mieux. Et si les tentatives sont infructueuses, guidez-le pour orienter son regard sur les personnes qui lui font du bien et qui l’aime.
- Montrez vous-même l’exemple :Pratiquez le lâcher-prise selon les 4 étapes précédentes. Votre enfant vous imitera. D’ailleurs, le lâcher-prise parental est un moyen de développer l’autonomie des enfants (voir cet article).
En plus des paroles, vous pouvez aussi utiliser l’écriture, le dessin, le gribouillage ou encore la chanson et la danse.
Référence : le pouvoir des petits riens de Rick Hanson.
Remarquez à haute voix lorsqu’il pose un objet, quand il dit au revoir à un ami, quand il quitte volontairement un lieu, etc.
Evoquez le fait qu’il n’y a aucune conséquence au fait de lâcher-prise. Il s’agit simplement de s’intéresser à autre chose.
On peut apprendre à lâcher-prise en se débarrassant d’objets, de jouets, de livres, etc. Soit en les vendant, soit en les offrant/donnant. Ce dernier point permet de cultiver l’altruisme également (vecteur de bonheur).
Identifiez une idée/un tracas/ une inquiétude qui rend malheureux votre enfant. Remettez-la en question (avec lui) face à la réalité (réfutation et relativisation) et aidez-le à la remplacer par une affirmation comme celle-ci : « tout le monde a droit à l’erreur », « Si je ne tente pas, je ne saurai pas si cela fonctionne », « personne n’est parfait et c’est très bien comme ça ».
En lâchant prise sur une rancune, on se libère d’un gros poids. Montrez à votre enfant que l’on peut pardonner pour se libérer bien que pardonner ne signifie pas oublier pour autant. Expliquez que l’on peut aussi demander réparation et des excuses pour se sentir mieux. Et si les tentatives sont infructueuses, guidez-le pour orienter son regard sur les personnes qui lui font du bien et qui l’aime.
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