Je vous invite à découvrir 10 façons simples d’augmenter votre niveau de bonheur.
Yves Alexandre Thalmann nous explique dans son livre « Tout ce qu’il faut savoir pour bien vivre » que les pensées ont du pouvoir quand nous croyons en leur véracité. Ainsi, des pensées négatives telles que « je suis nul » ou « j’échoue tout ce que je fais, inutile d’essayer » « personne ne m’aime » ne sont que des pensées mais deviennent réalité car nous y attachons une croyance qui finit par dicter nos actes…et à s’auto-alimenter par une interprétation de notre vécu. C’est un cercle vicieux.
Pour le stopper, 3 options à votre disposition :
1) Partagez vos sentiments positifs avec d’autres.
Nous pouvons avoir des réticences à le faire mais partager nos sentiments agréables est un moyen d’en augmenter la durée. Autre effet de cette transmission, les personnes qui vous entendront vont s’imprégner de votre enthousiasme car les émotions sont contagieuses. Cela peut leur donner envie de vous emboîter le pas. Donc, si vous vous sentez bien, dites-le et remerciez les êtres qui contribuent à ce bonheur ! La gratitude rend heureux aussi.
Nous pouvons avoir des réticences à le faire mais partager nos sentiments agréables est un moyen d’en augmenter la durée. Autre effet de cette transmission, les personnes qui vous entendront vont s’imprégner de votre enthousiasme car les émotions sont contagieuses. Cela peut leur donner envie de vous emboîter le pas. Donc, si vous vous sentez bien, dites-le et remerciez les êtres qui contribuent à ce bonheur ! La gratitude rend heureux aussi.
2) Prenez une photo mentale de ce qui vous arrive de meilleur.
Le cerveau adore les images. Alors, n’hésitez pas à immortaliser les images du bonheur que vous vivez. Avec qui êtes-vous à ce moment-là ? dans quel cadre ? quelles sont les odeurs ? la musique que vous entendez ? Cette attention aux détails favorise l’ancrage et le stockage de souvenirs positifs, de véritables bouées de sauvetage en cas de tempête.
Le cerveau adore les images. Alors, n’hésitez pas à immortaliser les images du bonheur que vous vivez. Avec qui êtes-vous à ce moment-là ? dans quel cadre ? quelles sont les odeurs ? la musique que vous entendez ? Cette attention aux détails favorise l’ancrage et le stockage de souvenirs positifs, de véritables bouées de sauvetage en cas de tempête.
3) Félicitez-vous régulièrement.
Combien de fois vous êtes-vous félicité aujourd’hui ? Cette semaine ? Cette année ? Peut-être attendez-vous des félicitations extérieures ? N’attendez plus ! Félicitez-vous pour les petites victoires du quotidien et même pour rien. « Je suis heureux d’être qui je suis » « je suis mon premier supporter ». L’auto-compassion et l’auto-encouragement embellissent l’existence, ne coûtent rien et rapportent beaucoup !
Combien de fois vous êtes-vous félicité aujourd’hui ? Cette semaine ? Cette année ? Peut-être attendez-vous des félicitations extérieures ? N’attendez plus ! Félicitez-vous pour les petites victoires du quotidien et même pour rien. « Je suis heureux d’être qui je suis » « je suis mon premier supporter ». L’auto-compassion et l’auto-encouragement embellissent l’existence, ne coûtent rien et rapportent beaucoup !
4) Aiguisez vos perceptions sensorielles via vos 5 sens.
La pleine conscience rend heureux et calme les ruminations mentales. Donc, quand vous faites quelque chose (ou rien), concentrez-vous sur vos sensations physiques. Que sentez-vous ? Qu’entendez-vous ? Que voyez-vous ? Occultez un sens pour vous focaliser sur les autres : fermez les yeux en vous douchant et essayez de retrouver le robinet, le gant, le savon, ressentez la température de l’eau, etc. Reconnectez-vous ainsi à vos sens.
5) Montrez vos émotions, ne les réprimez pas.
La répression des émotions entraîne de nombreux désagréments : maux physiques, éclatement à un moment inopportun, déficit d’empathie envers les autres… Alors, donnez-vous le droit d’éprouver et d’exprimer des émotions. Pour éviter d’accuser quelqu’un lorsque vous le faites, parlez à la première personne. « je me sens… » ou utilisez lacommunication non violente pour vous relier à vos besoins et faire de votre entourage des alliés de votre épanouissement (et du leur).
6) Ne vous comparez pas.
Les comparaisons dégradent fortement le bonheur. Une des phrases qui en découle et qui est particulièrement toxique pour l’estime de soi est « si seulement j’étais/j’avais… » . Faites de votre mieux et essayez même de vous enthousiasmer pour les réussites d’autrui tout en vous disant « Le bonheur existe. Je peux le faire aussi ! C’est génial ! ». Autre astuce : faites une liste de tout ce vous avez et de ce que vous aimez. Faites-le souvent.
L’instant présent est gage de bonheur. Pour l’être, il suffit de faire une chose après l’autre et de se concentrer sur ce que nous faisons. Ici et maintenant. La vie se vit au présent.
8) Savourez ce que vous vivez. Ralentissez !Ah, le bouton pause. Il est à notre disposition mais nous l’utilisons si peu. Une bonne manière d’y penser est de se programmer à intervalle régulier des rappels pour s’arrêter et méditer. Cela fait baisser le stress et clarifie les pensées. Quand vous ressentez une émotion agréable, arrêtez-vous également, savourez, imprégnez-vous à fond. C’est délicieux !
9) Stoppez l’influence des pensées négatives.
Yves Alexandre Thalmann nous explique dans son livre « Tout ce qu’il faut savoir pour bien vivre » que les pensées ont du pouvoir quand nous croyons en leur véracité. Ainsi, des pensées négatives telles que « je suis nul » ou « j’échoue tout ce que je fais, inutile d’essayer » « personne ne m’aime » ne sont que des pensées mais deviennent réalité car nous y attachons une croyance qui finit par dicter nos actes…et à s’auto-alimenter par une interprétation de notre vécu. C’est un cercle vicieux.
Pour le stopper, 3 options à votre disposition :
- Cultiver les pensées positives : remplacez systématiquement les pensées négatives par des pensées positives et anticipez l’émergence de ces pensées néfastes en pratiquant la répétition et l’écriture d’affirmations positives.
- Rationaliser : examinez les pensées négatives et trouvez des preuves dans le réel ou vos souvenirs qu’elles sont fausses.
- Considérer que les pensées ne sont que des pensées : pour cela, observez ce qui se passe dans votre tête sans en être acteur. Ainsi, les pensées s’évanouiront d’elles-mêmes.
10) Bougez 30 minutes par jour
Bouger libère de l’endorphine, booste le système immunitaire, clarifie les pensées, fait baisser le taux de cortisol (hormone du stress)… cela a pour effet un sentiment de bien-être général. Alors, plus d’hésitation, sortez, marchez, courez et faites-le en groupe si vous souhaitez avoir une motivation supplémentaire.
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