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mardi 1 novembre 2016

Les 7 freins qui nous empêchent de réussir

Je vous invite à découvrir aujourd’hui les 7 freins qui empêchent de réussir. Comme nous l’explique Henri Kaufman, l’idée est de les identifier dans nos vies et d’en changer…pour accélérer !

1. Le perfectionnisme :
Depuis votre enfance, on vous dit que vous pouvez mieux faire et vous avez pris l’habitude de considérer comme échec ce qui n’est pas parfait. Vous êtes partisan du tout ou rien. Acceptez vos limites et n’oubliez pas que le mieux est l’ennemi du bien.
2. Le pessimisme :
Vous voyez tout en noir et vous attendez l’échec à chaque tournant. Vous oubliez les bonnes choses qui vous sont arrivées et vous ne pensez qu’aux tuiles et autres catas. En conséquence, vous n’osez pas foncer, et vous vous jouez la chronique d’un échec annoncé.
3. L’exagération des obstacles :
Les montagnes à franchir sont toujours trop hautes, les adversaires trop puissants, les problèmes trop complexes. Vous préférez créer des drames plutôt que d’examiner calmement les obstacles… et les surmonter.
4. Mettre des étiquettes a priori sur les choses et les gens : la catégorisation.
Les gens, les situations, les évènements ne rentrent pas dans vos cases prédéfinies. C’est confortable de tout catégoriser mais pas très efficace, comme si vous rouliez avec des œillères.
5. Refuser les compliments (reçus ou donnés) :
Les compliments vous arrachent la bouche, et vice versa, vous n’aimez pas en recevoir, comme s’ils vous mettaient mal à l’aise. Conséquence, vous ne donnez pas confiance à vos proches et vous n’avez pas non plus confiance en vous.
6. Négliger (ou ignorer) ses points forts :
Analysez vos points forts (mais si, tout le monde en a !) et appuyez-vous sur eux pour avancer. Pas de fausse modestie ou de complexe mal placé : le succès ne sourit qu’aux gens qui utilisent tout leur potentiel.

7. Ne pas estimer correctement les prises de risque :
Savoir placer le curseur du risque : ni trop fort (vous allez vous casser la figure) ni trop faible (vous ne gagnerez qu’un lot de consolation). C’est un art nourri d’expérience.

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